À la découverte de l'artiste BB SAKIS et la « COVIV-20 »

  • Ajouter le 04/09/20
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  • Rédigé Par MenouActu    


« Si on parle de pandémie, c’est que la menace est très grave. Les gens meurent en cascade partout dans le monde. Il faut donc juste respecter les mesures barrières afin de ne pas être compté parmi les morts »


BB Sakis livre ici avec son nouveau single baptisé « COVIV-20 » un message de sensibilisation à l’humanité et fait désormais de la musique, non plus qu’un outil de divertissement mais également un outil d’éducation et notamment d’éducation pour la santé.

Mais qui est BB SAKIS ?

Né au Cameroun, BB Sakis fait ses premiers pas dans la musique en 1999 où en cours de scolarité et en classe de 6ème, il est repéré par son talent d’interprète des variétés musicales camerounaises et africaines. C’est ainsi que dès l’année 2002, il est déjà un habitué des émissions de variétés de la télévision nationale camerounaise (CRTV).

Très ambitieux, il fonde en 2004 le groupe « BIG STAR » alors qu’il n’est encore qu’en classe de 1ère dans un lycée de la capitale camerounaise. Avec ce groupe, il va livrer des concerts scolaires très appréciés par la jeunesse camerounaise.

Après l’obtention de son Baccalauréat, il s’inscrit à l’Université de Yaoundé II, mais passionné de musique, il poursuit sa vie artistique et musicale en chantant dans les cabarets. C’est ainsi qu’il va faire la connaissance de Ben Decca, Sam Fan Thomas, Nkotti François, et bien d’autres monuments de la musique camerounaise.

En 2010, il entre en studio pour la préparation de son album « SEPARATION ». Ce premier album est une belle galette de 7 titres dans laquelle BB Sakis développe ses thèmes favoris : Amour, Travail, Famille.

En 2012, il est récompensé pour la qualité de son album et reçoit le prix du Meilleur artiste 2011-2012 de l’Association des Médias de l’Ouest-Cameroun. Il reçoit également la même année, le prix « IROKO » du Meilleur artiste du département de la Lékié ainsi que le prix « AADA » qui couronne le Meilleur artiste 2012 de l’Association des animateurs et DJ de l’Adamaoua.

L’album « SEPARATION » fit un tapage médiatique au Cameroun mais la piraterie de cette belle œuvre musicale a freiné les ambitions de BB Sakis. C’est dans ce contexte de piraterie généralisée de ses œuvres qu’il va enregistrer SEKELE ( 2013 ), KAMER COMME CA ( 2014 ), HOMMAGE AU Dr ARMAND ( 2015 ), CHOIX IMPOSSIBLE ( 2016 ), MON MARIAGE ( 2017 ) et ANATOLE ( 2019 ).

Aussi, après un passage à vide lié à l’absence d’un producteur musical de ses œuvres, BB Sakis refait surface à la suite de sa rencontre avec le Dr Armand NGHEMKAP, Médecin Urgentiste et Homme de Culture qui lui propose d’entrer en studio pour enregistrer son nouveau single baptisé « COVIV-20 »


Pourquoi « COVIV-20 » ?

« COVIV-20 » ou « Comment Vivre en 2020 avec le CORONAVIRUS » est le fruit d’une étroite collaboration entre l’artiste et le Médecin. BB Sakis assure la composition musicale et la direction artistique. L’idée originale est du Dr Armand NGHEMKAP qui souhaite passer un message fort de sensibilisation en ce temps de guerre sanitaire mondiale par le biais des mélodies et du tempo musical de BB Sakis.

Dans « COVIV-20 », BB Sakis interpelle les populations du monde entier à adopter désormais les mesures barrières pour faire face à la pandémie mondiale à COVID-19 qui a déjà fait près d’un million de morts à travers le monde.

En effet pour BB Sakis, sa musique ne doit plus rester cantonnée uniquement dans le couloir du divertissement mais doit désormais être également un outil de sensibilisation du grand public face aux fléaux sanitaires qui minent l’humanité, et ceci pour notre bien-être à tous.

« COVIV-20 » vous est offert. C’est à vous de vous l’approprier, de le partager, et le diffuser dans tous vos réseaux de communication pour une sensibilisation musicale à grande échelle sur les mesures barrières.

Ensemble, même l’impossible devient possible !!!

Le Dr Armand NGHEMKAP a imaginé « COVIV-20 », BB Sakis l’a réalisé, C’est à vous de le diffuser désormais. Place à la sensibilisation.


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