Le jeune politicien instigateur de l’opération 11 millions d’inscrits pour les échéances électorales 2018 au Cameroun invite la jeunesse de la Menoua à s’inscrire massivement sur les listes électorales.

Celui qui est aujourd’hui présenté comme le MACRON camerounais, CABRAL LIBII, invité par un groupe de jeunes dans la capitale régionale de l’ouest, Bafoussam en a profité pour faire un crochet à de Dschang. Chaleureusement reçu dans une structure hôtelière de la ville où étaient réunis ces jeunes dans le cadre du lancement d’un projet culturel baptisé (Show time vacances Menoua), le lauréat du Premier prix d’excellence « Meilleur booster de la  démocratie camerounaise 2017» a surpris plus d’un par cette présence inopinée. Dès la fin du point de presse qui réunissait entre ces murailles l’ex Miss Cameroun Julie  CHEUGEU NGUIMFACK avec ces jeunes de la Menoua et un parterre d’hommes de médias, LIBII a aussitôt été pris en otage dans une pluie d’interrogations ; il ne tardera pas à se prêter au jeu. Répondant à l’une de ces questions, il n’a pas gardé la langue de bois quant à la position de certains concitoyens à l’instar d’ELIMBI LOBE et CHIEF MILLA ASSOUTE qui estiment vaine, l’opération 11 millions d’inscrits d’ici janvier 2018 lancée depuis quelques mois par LIBII. Alors si nous voulons le changement, affirmera-t-il, « le secret c’est d’aller aux élections ; c’est la seule voie royale pour parvenir à la démocratie c’est de se présenter aux urnes. C’est pour cela que j’exhorte mes concitoyens à se faire inscrire sur les listes électorales. » Selon lui c’est complément absurde de réaliser que dans notre pays « les gens estiment qu’il faut se porter candidats aux élections avant de retourner chercher les électeurs.ca devrait être l’inverse ; voyons ce qui se fait ailleurs et sachons copier le bon exemple. » Promesse d’un éventuel retour dans la cité universitaire a été faite par le journaliste-juriste de 37 ans, aujourd’hui très connu du public camerounais, notamment la jeunesse qui du jour au lendemain ne cesse de lui manifester son soutien multiformes sur des plates-formes d’échanges, les réseaux sociaux ;  mais qui fait déjà face à de multiples détracteurs.

La rédaction