- Ajouter le 03/08/17
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- Rédigé Par MenouActu Suivre @MenouActu
Ils vont venus de tout bord ces formateurs et acteurs de l’éducation non formelle pour s’imprégner les outils nécessaires favorable à l’exercice de cette action qui occupe à nos jours une place de choix au sein des sociétés.
En retour, il revient à ces animateurs d’aller mettre en pratique les connaissances emmagasinées tout au long de ces travaux en atelier qui se sont étendus sur une période d’une semaine et quelques jours ; ceci auprès de leurs communautés respectives et dans divers domaines d’apprentissage, pour permettre un développement participatif et rationnel auquel prennent part toutes les couches sociales, même celles des non scolarisées. Pendant plus d’une semaine, ces jeunes guidés par des spécialistes ont exploré divers domaines. Montage des projets, gestion environnementale, tourisme, santé, agriculture ; bref apprendre le développement des compétences par le biais de l’animation socio-éducative. Pour cet atelier, un accent particulier a été mis sur la question de développement durable. Les apprenants approchés ont dit avoir trouvé une large satisfaction au terme des travaux puisqu’ils sauront désormais créer des opportunités d’emploi et d’en faire découvrir aux autres. Il était question d’une première étape qui leur confère le statut d’animateur. Une seconde mission des Francas (association de la ville de Nantes, en France au sein de laquelle sont réunis ces experts) dont la date n’a pas été dévoilée permettra de perfectionner à l’avenir le niveau de ces jeunes, et d’en faire des formateurs au sens plein du terme.
L’initiative est du Réseau Action Jeunesse pour l’Environnement et le développement durable (RAJE-2D), Il s’agit comme le rappelait le Maire Donfack Baudelaire de la commune de Dschang lors de la cérémonie d’ouverture des travaux « d’une formation dont l’enjeu est capitale tant pour cette jeunesse qui sont les premiers bénéficiaires que pour les communautés au sein desquelles ils iront mettre en pratique ces connaissances puisque les jeunes sont désormais partie prenante de la gestion de la cité. »
J K T
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