- Ajouter le 02/06/23
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- Rédigé Par MenouActu Suivre @MenouActu
Cette prouesse surréaliste vient d’être accomplie par un conducteur de moto-taxi qui finalement, est entré dans le même état que ses conquêtes préférées.
Une image abondamment relayée sur les réseaux montrant un homme, l’air bien portant, entrain d’assouvir ses désirs sexuels en plein air dans la ville de Bafoussam et devant une foule qui semblait se délecter de ce ‘’film’’ en direct qui, à l’époque des ‘’vidéos clubs’’, n’étaient projetées qu’à une certaine heure de la nuit avec la mention ‘’interdit aux moins de…’’. D’après nos investigations, cette scène hallucinante s’est effectivement produite dans la capitale de la Région de l’Ouest, précisément le jeudi 18 Mai 2023, au lieu-dit ‘’Dernier Poteau Benin’’ au quartier Kouogouo dans l’Arrondissement de Bafoussam 3ème. L’homme qui joue le rôle d’acteur principal et qui pendant ces ébats, se déshabille et agite ses deux bras pointés vers le ciel, n’est pas du tout étranger dans la zone. Il s’agit d’un conducteur de moto-taxi connu sous le pseudonyme ‘’Justice Divine’’. Et la femme avec qui il s’offre son plaisir, est une déficiente mentale. Plusieurs sources renseignent que cet originaire de Bansoa dans l’Arrondissement de Penka-Michel, Département de la Menoua, n’était pas à son premier essai ce jour-là. Il avait tout au long de la journée, offert du plaisir à sept autres femmes à la santé mentale instable.
Accomplissement d’un rituel ?
Qu’est-ce qui peut expliquer son penchant pour des folles ? Pourquoi avoir choisi d’entretenir rapports sexuels avec elles en mondovision ? Peu de personnes trouvent une explication dépouillée du monde métaphysique. La thèse la plus soutenue, est celle de l’accomplissement d’un rituel ésotérique. En effet apprend-on, après avoir été bastonné par la foule qui peinait à comprendre ses réelles motivations, Justice Divine, marié et père de plusieurs enfants, a commencé des crises de folies. « Il y a des moments qu’il crie très fort, demandant à boire du sang », souffle un de ses anciens collègues.
Depuis le jeudi 18 Mai dernier, il vit enchaîné. Sa famille aurait entrepris de le conduire chez un tradi-praticien dans l’espoir de briser le sortilège qui l’a mis dans le même état que ses conquêtes féminines préférées.
Par Symaro Mebego pour le journal Citoyen MenouActu
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