Rendu à sa deuxième année sous les couleurs jaunes-noires, le natif d’Edéa continue de faire ses preuves ; auteur de 9 buts depuis le lancement de la saison, le sociétaire du rapace de la Menoua est bien parti pour finir parmi les meilleurs de la saison.

Maximillien Francis Ebembe ELIMBI, un footballeur professionnel de 22 ans né le 14 mai 1995 à Edéa dans le Littoral, au Cameroun, aspirant  finir sa carrière  telle une étoile de la discipline et qui actuellement se donne les moyens pour y parvenir. Fier de ses performances qui laissent voir cette détermination dans son jeu, il est actuellement compter au rang des meilleurs buteurs de la Mtn élite one avec à son actif 9 buts sur les 20 journées écoulées. Il a pour cette saison jeté son dévolu sur l’équipe mythique de la Menoua Aigle Royale qui a déjà sorti de son moule plusieurs autres grands acteurs connus sur la scène du football  actuel au Cameroun. Son parcours s’ouvre dans son Edéa natal où il intègre le centre de formation AS Bambino en 2004. Six années plus tard, il est accueilli dans l’équipe de Fovou de Baham. Mais le résultant est sans aucun apport puisqu’il finit la saison sur le banc de touche parce cloué par une blessure. L’année qui s’amène l’emporte dans le collectif du club de Charité de Badjoun, un club de la D2 régionale dans lequel il commence à asseoir son talent ; il est d’ailleurs sacré meilleur joueur de la ligue régionale de l’ouest lors de la saison 2013-2014. Séduit par le charme du jeune et les qualités dont fait preuve le garçon, l’équipe la plus populaires de Mbouda, Mbamboutos va le prendre sous son aile. Après une saison pleine avec les Mangwas boys, ELIMBI est copté par L’Aigle royal de la Menoua où il évolue depuis deux ans. Dans un collectif qui lui permet de ressortir ses performances individuelles, surtout qu’il occupe le stratégique poste de milieu de terrain, il avoue se plaire au sein de l’équipe malgré les difficultés auxquelles celle-ci est confrontée au quotidien. Le profil du titulaire débordant d’énergie et plein d’ambitions du rapace de la Menoua  lui promet un avenir sous de bons auspices. Pour le moment, l’heure est au travail avec bien d’application.

La rédaction